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 Eraol-gro-Uzul, audacieux orsimer

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3 participants
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Eraol le Savant
Stratège Orque
Eraol le Savant


Messages : 23
Date d'inscription : 24/11/2013
Age : 27

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MessageSujet: Eraol-gro-Uzul, audacieux orsimer   Eraol-gro-Uzul, audacieux orsimer EmptySam 30 Nov - 11:35

Prénom : Eraol (gro-Uzul)

Nom : /

Age : 36 ans

Race : Orsimers / Orques

Lieu de Naissance : Forteresse de Narzulbur, Bordeciel

Orientation psychologique : Loyal bon, Eraol se bat pour ses idées et les intérêts de sa race, n'ayant que rarement d'autres considérations.

Orientation de rôle/carrière : Chef de la tribu vivant à Narzulbur, Eraol a pour ambition d'unir tous les Orques de Bordeciel sous son égide. Sans vouloir être roi (il ne reconnaît que l'autorité du roi d'Orsinium), il désire diriger les enclaves orques nordiques et porter leurs intérêts sur la scène politique et militaire.

Signe astrologique ou Pierre Gardienne : Pierre du Guerrier

Description Physique :

Les orques ne sont pas connus pour être des gringalets et Eraol n'échappe pas à cette règle. Il dépasse en taille la plupart des hommes et possède la carrure que tous les guerriers humains désireraient avoir : des épaules larges et carrées, une musculature saillante et des bras aussi larges que des jambes. Tout comme ses congénères, Eraol a le squelette épais et lourd, de la race des berserk, le tout recouvert d'une chair ferme et puissante,  recouverte d'une peau épaisse, d'une couleur singulière et propre aux orsimers. Verdâtre. Si certains de ses frères arborent une peau d'un vert exotique, pimpant et clair, la sienne est terne, flirtant avec la couleur de la terre. Ses mains, larges et puissantes sont abimées par des années de labeur. Elles ont connues la mine, la forge et la guerre. Elles ont maniées la pioche, le marteau, et le glaive.
Son torse est mutilé, recouvert de cicatrices diverses : souvenirs de la mine, brûlures lui remémorant la forge ou encore les plaies que lui laissèrent nombre de duels. Son visage lui, inspire étrangement une profonde sagesse.
De ses oreilles, il a enlevé tout anneau et bouts de fer décoratifs dont elles étaient ornées plus jeune, et son crâne, autrefois méticuleusement rasé arbore désormais une fine chevelure grisaillante. Sa mâchoire au large menton garde encore elle aussi quelques cicatrices, dissimulées sous une barbe naissante. Ses yeux sombres dominent un nez écrasé, cassé à de multiples reprises et une bouche dont dépasse d'une façon anarchique quelques dents et ses crocs caractéristiques. En somme, un beau mâle pour les orquesses mais certainement pas pour les humaines aux goûts raffinés. Tous les goûts sont dans la nature, dirons-nous !

Description Mentale :
Les siens l'appelle le Savant, mais il est loin d'être un érudit. Éduqué, certes, et par l'Empire qui plus est, il est havre de savoir pour les jeunes orques curieux, mais loin d'être capable de faire compétition avec un sage. Il est cependant capable de tenir une conversation sur des sujets pointus, et ses avis sont éclairés, épargnés de la plupart des stéréotypes pouvant germer dans les cervelles incultes. Il a apprit à se méfier de la propagande, de la politique et des grands discours ainsi que des rumeurs. L'information sûre est toujours la plus dure à trouver. Cumulant le savoir des écrits et celui de la tradition orale Orque, il est certainement l'un des Orsimers les plus patients et habiles à discourir que vous rencontrerez. Sa sagesse vient de son savoir de la guerre et de son aisance à parler devant tous. Grand orateur, il est pourtant doté d'une grande impatience, ne supportant guère de perdre son temps. Il est paradoxalement relativement humble, malgré un manque certains de chaleur quand vous le rencontrez. Il aime pourtant tout comme les Nordiques les beuveries et les victuailles, il en est même un grand adepte et connu toutes sortes de débauches durant sa carrière de soldat puis de mercenaire. La chair, l'alcool et la nourriture sont certainement ses grandes faiblesses et pour lui, chaque combat mérite une récompense bien arrosée. Comme la plupart des orques, males ou femelles, il a la rage dans le sang. Un goût du combat inné et un sens de la loyauté aigu. La société orque leur apprend à être loyal et tenace. La furie le gagne aussitôt que la perspective de faire couler du sang ou venger les siens ne se montre. Il ne voue pas une véritable haine vis à vis des hommes, mais une certaine forme de mépris. Ce n'est pas récent, et s'il respecte les plus dignes d'entre eux, leur arrogance et leur avidité le répugne, tout comme le traitement qu'ils affligent aux non-humains, parqués dans des ghettos comme à Vendeaume. Les orques n'ont pas la place qu'ils méritent dans la société selon Eraol, condamnés à n'être que des roturiers ou des reitres. La meilleure place qui leur est accordée est d'incorporer les Légions d'un Empire qui les sous-valorise. Ou bien voué sa vie au mercenariat et voyager, reniant ses frères et soeurs, quittant la sûreté de la forteresse et la foi en Malacath. De si minuscules enclaves pour un peuple grandissant... et entravé. La culture orque elle-même est quotidiennement bafouée au gré de propos racistes ou dégradant. Pourquoi n'auraient-ils pas leur part du butin ? Ils sont là depuis aussi longtemps que les autres, n'en déplaise aux Nordiques. Et cette part, ils l'arracheraient de leurs corps fumant s'il le fallait.

Histoire :

Boum. Boum. Boum.

Tels les battements d'un coeur impitoyable, l'echo des tambours résonnait dans toute la vallée.

Boum. Boum. Boum.

Lents et inébranlables, les percussionnistes faisaient vibrer leurs instruments de leurs gestes lourds et précis. Leur peau verdâtre, recouverte de d'un mélange acre de sueur, de poussière et de sang luisait malgré tout sous les rayons de la lune froide, qui régnait toujours plus haut dans le ciel noir.

Boum. Boum. Boum.

Sur le sol, vautrés, éventrés, des corps d'hommes. Une quinzaine avaient péris là, pour s'être aventurés trop loin de leurs terres. Couchés dans les mares de leur propre sang, leurs yeux vitreux semblaient fixer le ciel et supplier sa grâce. Les orques avaient déjà rendus la leur. Eraol avait mis la sienne au placard. Son jugement était implacable et dépourvu de toute pitié.

Boum.

Le dernier tambour se tût, et le silence retomba sur le chemin menant à la forteresse de Narzulbur. Sur le sentier, un des soldats respirait encore. A genou dans la boue, la tête dénudée de son casque et les joues lacérées, il haletait. Des larmes traçaient une sinueuse voie blanche dans la crasse sur sa peau. Il fixait le sol, n'osant lever les yeux devant le terrible guerrier qui lui faisait face. Derrière ce dernier, les orques attendaient, silencieux, l'excitation et l'adrénaline du combat les ayant quittés. Eraol posa la lame de sa hache sur l'épaule de l'homme, n'exerçant qu'une légère pression sur celle-ci.

- Lève les yeux.

Le Nordique s'executa lentement, tremblant de terreur. Guthold, Derwin, Kervan... tous morts. Il tenta d'ouvrir la bouche mais il n'en sortit qu'un sanglot. Il leva encore les yeux, lentement, passant sur l'armure noire de son interlocuteur, salie par le sang encore humide qui l'avait éclaboussée. Le sang de ses frères. Il remonta et découvrit bientôt le visage dur de l'orque.

- Ton jarl a eu l'audace d'envoyer ses hommes jusqu'ici. L'audace... ou la bêtise. J'avais prévenu ses patrouilles : n'approchez pas nos forteresses. Vous n'y êtes pas le bienvenue. Et vous avez persistés. J'avais dit que nous ne payerions pas sa taxe. Nous sommes chez nous, et nous ne sommes pas des citoyens nordiques ! Vous continuez à roder, fourbes. Vous ne nous aimez guère, et cela est réciproque... Vous chassez nos frères et soeurs qui ont décidés de vivre parmi les votres : ils ne peuvent demeurer dans vos grandes cités, contraints d'être vos larbins ou des mercenaires... Et vous osez nous menacer et venir jusque dans nos refuges, armés ?

Il rangea sa hache en soupirant et attrapa l'épaule du frêle guerrier, le remettant debout avec force.

- Va. Retourne derrière tes murs de pierre. Chéris la vie que je te laisse, car j'aurais pu te la prendre. Mais avant toute chose, retourne voir ton seigneur. Répète lui mot pour mot mes dires... Personne n'entre chez les orques sans la permission des orques. Personne ne tue d'orques sans déclencher notre couroux ! Et je jure devant Malacath que si vos hommes reviennent nous importuner, nous n'agirons plus en nous défendant.

Eraol se tourna brusquement, désignant d'un geste de la main deux cadavres contre la palissade.

- Vous avez tué deux des miens. C'est un haut fait d'arme pour les larves que vous êtes... Tu es l'un de ceux qui a défait mes frères, c'est pourquoi tu es digne de vivre... Mais ton courage ne sera pas sans conséquences. Allez, va.

Il le poussa violemment vers la route et le Nordique tituba avant de tomber en arrière. Il ne se fit pas prier et se releva avant de déguerpir en courant. Eraol se tourna vers les siens.

- Allons donner aux notres la sépulture qu'ils méritent...
dit-il en soupirant.

Et cette nuit, la rage ne faisait que commencer à bouillir dans les veines d'Eraol et des siens. Ce n'était que le commencement.

Après avoir enterré les siens, il traversa le ponton qui menait vers la mine de la forteresse. Une pointe de roche s'y avançait audacieusement vers la vallée qu'elle surplombait. La neige commençait à tomber timidement, voilant à Eraol la vision de la vallée nordique. Au Nord se dressait Vendeaume, arrogante et millénaire citée noire, fierté du peuple qui l'habitait. Les Nordiques. Aussi loin qu'il se souvienne, les Orques n'avaient jamais entretenus d'excellentes relations avec les descendants d'Ysgramor, certainement à cause de leur tendance à s'accaparer de ce qui ne leur appartient pas. Depuis des millénaires, les Nordiques revendiquaient la totale possession d'une terre dont ils n'avaient pas foulés les sentiers les premiers. Les petites communautés Orsimers de Bordeciel étaient implantés en ces contrées gelées depuis si longtemps qu'ils avaient pu voir les Hommes y fleurir et s'y entretuer. Ils partageaient ce statut avec les Crevassais et avait vu avec amertume le sort réservé à ceux qui haussaient la voix face à l'hégémonie humaine. Les humains, Eraol les avait vus de près. Son passé n'était pas celui d'un simple orque élevé au sein d'une forteresse. Oh non... Pour certains, les sentiers de la vie étaient tortueux. Il se rappelait avec nostalgie.

**

Il était bien né derrière les barricades de bois d'une forteresse, celle-là même qu'il dirigeait maintenant. Narzulbur. Fils ainé du chef, il était destiné à le tuer et prendre sa place à la tête de la communauté. Cela ne se passa pas exactement aussi simplement.

Le jeune Eraol était un jeune orque audacieux, pleins de fougue et assoiffé d'aventures. Le code de Malacath le contraignait cependant à parfaire son éducation au sein de la forteresse. Il prit son mal en patience et poursuivit comme tout Orque une formation exceptionnel aux arts de la forge, de la chasse, de la pêche et du combat. Bon pisteur, forgeron habile sans être meilleur qu'un forgeron de village, chasseur au bon flair, Eraol était relativement correct dans tous les domaines, sans y exceller. Sauf un. Le combat. Eraol avait la guerre dans le sang, et la chaman de Narzulbur vint même à dire que son sang devrait être maudit pour bouillir avec tant de fougue. Intenable, il était d'une arrogance audacieuse et venait à se faire blamer pour son caractère. Bientôt, son souhait de voyage en vint même à être exaucé. Eraol ne pouvait être digne de devenir un chef, même s'il venait à tuer son père. Son manque de maturité causerait le désastre des siens. Il devait murir. Les murs de la forteresse semblaient bien trop étroits pour ça. Ainsi, et ce malgré le profond respect au code de Malacath que vouait son père, il fut poussé à partir, ne serait-ce que quelques années de Narzulbur.

Ainsi, il quitta la vallée de Vendeaume, de faibles bagages sur le dos, entreprenant une longue et ardue marche. Les Orques font de bons survivalistes et même en ces dures terres de Bordeciel, Eraol parvint à se nourrir et coucher convenablement, devant se défendre à maintes reprises pour repousser les bêtes sauvages qui peuplaient à foison les bois du Nord.

Pour gagner de quoi vivre, Eraol gagna le Bosquet de Kyne en premier lieu et y travailla quelques temps pour l'auberge, coupant du bois, faisant le service et toute sorte de petits travaux, assez dégradants pour un Orque mais il ne pouvait y échapper. Après quelques semaines de travaux ménagers, il eut assez d'écus pour reprendre son périple qui était encore bien loin de remplir son goût d'aventures.

Il marcha jusqu'à Blancherive, seul. Une fois là-bas, il parvint à exercer quelques temps ses talents de forgeron malgré les réticences des commerçants nordiques à engager un orque. Puis il décida de quitter la ville, ayant fait le pleins d'or et de vivres. La vie citadine ne l'intéressait nullement, et bien qu'il fut loin de sa forteresse il en demeurait un guerrier. Il ne voulait pas devenir l'un de ces orques citadins ayant reniés le code de Malacath et ses préceptes de vie. Eraol était en voyage initiatique, pas en quête d'une nouvelle vie : il connaissait ses valeurs et les préservait. Ses pérégrinations le menèrent jusqu'à Solitude, sur la route de laquelle il vécut quelques périples, comme dans les marais de Morthal où il s'égara.

C'est à Solitude que son aventure prit un réel tournant, quand il s'engagea dans les rangs de la Légion. En effet, Eraol, intrigué par la propagande impériale d'une des antennes de la Légion en Bordeciel devint un berseker orque, fléau de l'armée impériale. L'Orque n'avait pourtant aucun goût pour la politique ni les idéaux promulgués par l'Empire, mais la promesse de combats et de voyages dans tout Tamriel l'attirait irrésistiblement. Ce fut pour lui une occasion formidable d'observer de près la nature humaine. Sa soif insatiable de conquête, ses petits jeux politiques, qui corrompaient à toute échelle la société impériale. Chacun voulait sa part du gateau, et la hiérarchie, même au sein de l'armée, était propice à de pathétiques conflits internes. L'homme avait un terrible besoin de posséder, et même soumis aux dieux semblait toujours détaché de toute spiritualité. Cela n'était évidemment pas vrai pour tous, et la religion avait une place prépondérante dans tout Tamriel, mais déjà la société humaine le répugnait. Elle était d'une créativité grandiose mais semblait incapable de croître pacifiquement. Le peuple le plus répandu de Tamriel serait-il le plus vulgaire ? Il n'oubliai pas non plus la terrible persécution des Orques par les Hommes, à l'arrivée de ceux-ci en Tamriel. Chassés des plaines, son peuple dû se réfugier dans les montagnes de Wrothgar et de la Queue de Dragon, chassés par les armées humaines qui les voyaient comme une sous-race nuisible et leur faisait la guerre sans cesse.

Cette expérience dans l'Empire ne fut pas que pessimisme pour autant. Loin d'haïr les hommes, il apprit à les connaître, malgré son regard critique. L'armée le trimballa de provinces en provinces, de guerres civiles en incidents diplomatiques et il put admirer les cités de Lenclume comme les paysages de Haute-Roche. Il s'y forgea un sens politique et diplomatique tandis que l'armée le cultivait. On lui apprit à lire et les bibliothèques de l'Empire lui furent grandes ouvertes. Eraol le guerrier se découvrit un penchant érudit jusqu'ici insoupçonné et passa nombre de ses permissions à la biliothèque de la cité impériale. Il y apprit d'avantage sur le passé de son peuple, parfois ignoré par les Orques de Bordeciel, qui n'en connaissaient que les grands traits. La destruction d'Orsinium, en outre, le marqua profondément, et les détails de la constante dégradation des Orques fut l'un des éléments qui firent naître en lui une profonde culpabilité. Il servait actuellement les fossoyeurs de ses ancêtres. Cependant, l'Empire fut le seul pouvoir géopolitique à avoir défendu Orsinium par le passé, sauvant le royaume Orque de l'opression de Lenclume et Refuge. La conscience d'Eraol était presque sauve.

L'Orque s'abreuvait des connaissances à sa disposition et de l'histoire de Tamriel. La politique et la guerre étaient désormais intimement liées dans son esprit. Ce n'était plus un simple exutoire, mais un véritable instrument. Il comprenait mieux le monde et comprenait aussi comment le façonner. C'est à ce moment qu'il décida de quitter la Légion, après l'avoir servie pendant 6 ans. Il en sortit comme un guerrier accomplis, et surtout éduqué. Son voyage de retour, de Cyrodiil à Bordeciel fut plus long que prévu. Fêtant son départ, il finit sa dernière nuit en terre impériale ivre mort, et se fit dépouiller d'une grande partie de son or. Heureusement, fort de son intégration à la civilisation impériale, il lui restait de l'épargne chez un courtier qu'il put retirer, mais bien peu. Il du alors se reconvertir en mercenaires pour financer son voyages, avançant au gré de ses contrats, de plus en plus vers Bordeciel, pour enfin gagner Narzulbur. Sa route fut semée d'embuches, et difficile. De nombreuses fois, il dormit dans les geôles d'obscures provinces et comtés impériaux, inculpés pour des crimes qu'il n'avait pas commis, un voyageur orque étant toujours suspect aux yeux du petit peuple. Ce fut une longue route, éprouvante et compliquée pour Eraol. Quitter la province de Bordeciel avait été plus aisé que la regagner.

Son retour fut fêté dignement et jamais un Orque ne fut aussi heureux de retrouver son foyer. Il avait été trop longtemps loin de siens, et certains avaient même envisagés sa mort. Trop longtemps il avait vécu sous un autre code que celui de Malacath, et il venait maintenant se repentir. Il revenait enfin, son pélerinage accomplis, et un nouveau défi l'attendait, de taille. Mais s'il en ressortait vivant, il serait couvert d'honneur.

En effet, quelques jours plus tard, il la tête de son père tombait sous sa lame. Le combat avait été court mais intense, son père, vieillissant, ne faisait plus le poids contre un guerrier orque dans la fine fleur de l'âge et fort d'une formation orque et impériale, puis d'une expérience de la guerre. Eraol était désormais le chef de cette tribue. Il avait les femmes. Il allait enfanter. Les rêves de grandeur de ses frères avaient été abattus par son retour soudain, mais ils le serviraient avec honneur. Et, quelques années plus tard, il était là, planté sur son rocher... Face à l'humanité pour laquelle il avait combattu. Il ne lâcherait rien. Plus jamais il n'abandonnerait son peuple : il devait être son guide.
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N.A.
Capitaine de l'Astral / Fondateur
N.A.


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MessageSujet: Re: Eraol-gro-Uzul, audacieux orsimer   Eraol-gro-Uzul, audacieux orsimer EmptySam 30 Nov - 12:00

Excellente présentation, un personnage prometteur. Un très bon style d'écriture agréable à lire en bref, tu es validé =D

Je vais te mettre en Hors-la-loi comme prévu. Si tu désires un "titre" spécialisé pour ton personnage c'est: ici

Au plaisir de se revoir in rp et au passage,encore une fois, si tu as des questions ou autres n'hésites surtout pas Wink
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Seigneur Edvard Stalion
Main du Roi / Co-Fondateur
Seigneur Edvard Stalion


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Date d'inscription : 28/07/2013
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MessageSujet: Re: Eraol-gro-Uzul, audacieux orsimer   Eraol-gro-Uzul, audacieux orsimer EmptySam 30 Nov - 14:31

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