Prénom : Marius
Nom : Julianii
Age : 24
Race : Impérial
Lieu de Naissance : Anvil
Orientation psychologique : Pour l'Empire !
Orientation de rôle/carrière : Soldat de la Légion, spécialisé dans tout ce qui concerne le combat peu conventionnel. Il se bat avec un arc ou une épée.
Description Physique : Marius est un homme grand, enfin grand, il se considère comme tel, mais ne mesure en réalité que dans le mètre 80. Cela n'est pas spécialement petit me dirait vous ! Mais ça l'est si on le compare aux Nordiques. Il possède des cheveux courts, blond cendré et ses son iris est un subtil mélange de vert au milieu d'une mare marron. Marius porte une barbe naissante, mais celle ci est sujette aux mission qu'il doit effectuer : il la laisse toujours pousser tant qu'il est en mission.
Description Mentale : Marius est un fils d'officier de la Légion, de ce fait, il possède de nombreuses compétences dans le domaine de l'art de la guerre, pas seulement dans celui du combat. De ce fait, il sait qu'il est un adversaire redoutable, mais ne l'admet jamais en public. Son dynamisme en fait un meneur. Mais n'en fait pas un fanatique dévoué de l'Empereur. D'ailleurs il n'a cure de l'empereur ( voir dans la partie histoire ), et préfère protégé la vie de ses hommes. Il doit donc trouver un équilibre lui permettant d'accomplir son devoir tout en veillant sur ses hommes. Il a ainsi acquis une réputation de bon officier auprès des troupes, et celle d'homme d'action auprès du commandement de la Légion. Cependant, Marius possède une conception de la vie militaire draconienne, et n'admet aucun entorse au règlement, adulés par ses troupes, il reste cependant intransigeant sur la discipline, d'où son surnom, Severus.
Histoire :
Mornefort, Solitude, 2ème jour de Sombreciel
-Capitaine Marius Julianii ! Au rapport !
Le jeune homme s'élança dans l'escalier en colimaçon. Le Légat Quintus n'aimait pas qu'on le fasse attendre. Il était assis à son bureau, un simple ouvrage de bois recouvert de paperasse et d'ouvrages. Nul luxe pour légionnaire pur et dur qui malgré son rang, ne souhaité pas plus de richesse que ses hommes.
-Capitaine au rapport Légat Quintus.
- Jeune homme, je vais être bref, direct et rapide. Vos états de service me sont parvenu et je suis surpris. Vous avez été formé dans un escadron de sapeur de la Légion dans la région d'Anvil au lendemain du conflit contre le Thalmor. Puis on vous a proposé un poste de chef de la garde de ladite cité, poste bien rémunéré et important. Cependant je vois là que vous avez refusé cette offre et vous vous êtes porté volontaire pour servir dans le Corps Expéditionnaire de la Légion en Bordeciel. Une seule question, pourquoi ?
Marius réfléchit, il connaissait la réponse, mais devait l'annoncer de la bonne façon, le fixant droit dans les yeux, il commença :
- Chef, je suis le fils d'un honorable combattant, ayant fidèlement servi sa nation au moment opportun. Pour cela il a acquis gloire et renommée. Cependant de nos jours, c'est ici que ça passe, en Bordeciel. Ce n'est pas en patrouillant dans un port de l'Empire et en allant voir des prostituées le soir que je pourrai égaler voir surpasser ses exploits. Je me porte volontaire pour affronter nos adversaires, dans les forêts, sur la glace ou dans les villes pour honorer mon nom. Aucun Julianii n'a encore fui une telle opportunité, et je ne serai pas le premier.
Le Légat resta pensif, il le fixai lui aussi. Mais il était surpris, il faut le dire. Un jeune homme dynamique qui se porte en avant pour affronter l'ennemi sur son propre territoire, ça ne courait pas les rues à Solitude. Ni en Cyrodill d'ailleurs. Les derniers officiers qui étaient arrivés avaient tous rechigné à être affecté dans des un trous, et être forcé de combattre un ennemi connaissant par coeur les étendues glacée de Bordeciel et possédant une maîtrise du combat et un courage digne des troupes impériales. Mais cet homme là n'était pas non plus un jeune coq téméraire rêvant de glorieuses batailles dans la plaine, il avait l'air de savoir à quoi s'attendre. Il en était même persuadé désormais.
- Capitaine. Vous serez donc affecté au 4ème corps de sapeur des troupes impériales en Bordeciel. Je vous prépare vos ordres de transfert. Malheureusement l'administration ici est telle que vous ne pourrez partir avant deux jours. Préparez vous à affronter les glaces, car dans le Clos, vous allez en voir pas mal. Sur ce partez, d'autres tâches m'attendent. Et vous verrez, ce corps a subi beaucoup de pertes est n'est plus aujourd'hui que l'ombre de lui même ...
Il le salua puis redescendit. L'entretien n'avait duré que dix minutes. Simple, clair et efficace, Marius admirait cet homme. Et lui devait beaucoup, il venait d'être envoyé sur la ligne de front, avec des hommes qu'il commanderaient sans doute. Il s'en réjouit et partit à la forge finir ses préparatifs, déjà commencée depuis le début de la semaine.
Le clos, Camps Impérial, 5ème de Sombreciel
Le froid, les arbres et le vent. Voici ce qui attendait ce jeune habitant de côtes ouest de Tamriel. Mais il s'en réjouit, ces éléments aller rendre les deux camps plus prudent. Ce mot risquait d'ailleurs d'être le mot d'ordre au camps, en effet on peut pas se permettre de disperser ses troupes lorsqu'il faut tenir dans des collines glacées et se défendre des prédateurs. Mais ça il le verrait bien. Le camps ne devait être qu'à deux lieues, voir peut être une. CE qui était sûr, c'est que c'était dans le trou du cul du Clos. Il avait quitté Solitude exactement deux jours après son entretien avec le Légat Quintus. Et avait passé les deux autres à chevaucher. Le début du voyage s'était fait avec des marchands Khajiits. Mais seulement jusqu'à Pondragon. Le reste de chemin il l'avait parcourut seul. Et ça commencé à lui peser sur le système ! Il n'avait même pas eu à faire à des loups. Rien. A parts des pommes. Il les avaient prises au marché, vingt pommes pour seulement quatre pièces d'or. Autant dire pas grand chose; Mais il s'était rationné, il comptait les offrir aux soldats, ça leur changerait un peu. Non pas qu'il soit généreux, non, Marius est surtout compréhensif, envers celles et ceux qui doivent affronter le climat glacial de ces terres, et pourquoi ? Combattre un ennemi redoutable. Aucun camps n'a l'avantage dans le conflit contrairement à se que peuvent proclamer les hérauts et la haute bourgeoisie.
Mais laissons là ces niaiseries, le camps était bien là ! Du feu, des tentes, un forgeron. Il avait l'air plutôt bien structuré, mais Marius comptait bien remuer les choses, en effet le stock de bois n'avait pas l'air garni et les palissades, inexistantes ! Un comble pour camps de sapeurs impériaux. Mais bon, personne n'est parfait. Les sentinelles venaient de l’apercevoir. Il fut accueillit chaleureusement par ces soldats. Impériaux, Khajiits, Rougegardes et même des Argoniens ! Mais pas de Nordiques, étranges, sans doute n'aiment ils pas livrés batailles avec les tactiques des sapeurs. Qu'importe. Mais ce qui surpris le plus Marius, c'était l'absence de chef.
- Où est donc votre commandant légionnaires ?
- Il est tombé, il y a deux jours, mort dans une embuscade, avec deux de nos hommes. Paix à leurs âmes. Vous le remplacerai donc mon capitaine, au moins jusqu'à son remplacement offciel.
Il frappa son torse avec le poing, suivit des autres sapeurs.
- Très bien, très bien, il faut envoyer une missive à Mornefort, prévenir le haut commandement. En attendant je me colle de suite au travail. Prenez ce sac c'est pour vous, et je veux au moins trois légionnaires avec moi sous la tente. J'ai besoin de petit bilan de nos forces et de celles de l'adversaires.
Il lança le sac dans les bras d'un soldat, qui ravi découvrit ce mets délicat, puis se dirigea vers la tente, flanqué d'un majestueux dragon noir, sur fong gris. Symbole des troupes des sapeurs. Puis il commença à étudier les cartes des environs ...
Accueil 
Portail 
Dernières images 
Rechercher 
Connexion 
