[Rp seul] Une mission de routine...

Ça devait être une mission de routine, une simple MISSION de ROUTINE ! Alors pourquoi j'étais entouré de parjures, qui eux même entouré de pioches, eux même entouré de filons d'argents...Mais qu'est ce que je fout a la Mine de Cidhna ! Le maître avais vraiment un sens du mot routine a revoir ! Il m'avais envoyé la pour...

« Suitul, j'ai un contrat pour toi...

-Dite toujours, j'en peut plus de rester la sans action...

-Une mission de routine, un pauvre homme qu'un homme important veux que tu élimine...la routine, en fait.

-Comme d'hab' !

J'allais chercher mes affaires et lu les détails de mon contrat.

« Markarth ? Ca fait une trotte... »

Je pris tous simplement une tenue de tissus, léger et laissant une grand liberté de mouvement, je savais qu'en cas d'affrontement direct, je ne pourrais compté que sur ma ruse pour éviter la mort...Magnifique, allez d'Aubétoile jusqu'à Markarth, en évitant si possible les parjures, voilà le topo.

Alors pourquoi je suis dans cette prison...! Mince, voilà un orque, je suis sur que d'une droite il m'étalerais contre la pierre !

« Qui est-tu buveur de lait ?

-Je...{Vite, trouvé un truc a raconter...!} Je suis un parjure, on m'as surpris tuant un nordique dans la ville...Mon exécution est pour bientôt...

-Alors bienvenue dans la Mine de Cidhna, profite des tes derniers jours en travaillant, c'est le mieux a faire ici... »

Je m'en sortait plutôt bien, j'allais prendre une pioche, me souvenant douloureusement que mon exécution était en effet programmé mais pour d'autres motifs...Comment aurais-je pus savoir que tenter d'assassiner un Sang-d'Argent était hors-la-loi, hein ? Je me saisi de la pioche et commençais a trouver un coin libre, je me demandais quand même ce que cet orque faisait la sans bouger, a dévisager tout le monde autour...Je décidais de demander conseil au premier gars trouvé.

« Bonjour, mon frère...

-Bien le bonjour, vous aussi vous êtes ici injustement ?

-Je n'ai juste pas eu de chance, frère...

-Ahaha ! Je connais ça, moi aussi je me suis fait pincer pendant un règlement de compte...

-Nous avons beaucoup de choses a nous dire... »

Nous nous sommes assis autour du feu, son nom je l'ai oublié juste après qu'il l'ait dit, je ne voulais pas savoir sa pointure, ses raisons, sa familles, et surtout, je n'ai jamais voulu savoir avec quoi il teignait ses cheveux pour qu'il restent blanc !

« Je te le jure, tu mélange de l'œuf avec de la poudre d'os de squelette et ça te donne un colorant parfait. »

Voilà, là j'avais atteint le fond, si j'avais encore mon arbalète, il se serais pris un carreau entre les deux yeux depuis longtemps. L'heure de la nourriture venait mettre faim a mon calvaire, j'avais néanmoins appris que l'orque gardait la grille, et que quelqu'un d'important s'y cachais...

Une nuit venais de passer, il savais que cette brute m'enverrais rejoindre Sithis à la moindre provocation et je ne pouvais surement pas passer derrière lui : Trop imposant et il n'as l'air de ne jamais dormir ce colosse...J'ai décidé le tout pour le tout :

« Bien le bonjour, mon frère...

-Humpf, qu'est ce que tu me veut, frère ?

-Voila, il y aurais-t-il un moyen que je sache ce qui se cache derrière cette grille ?

-Hum...Oui, un. Je veut que tu me rapporte un surin et du skooma, a ces deux conditions je t'ouvrirais la grille.

Le skooma...Beurk, cette saleté ne m'as apporté que des ennuis, c'est avec dégout que je demandais qui en aurais ici, on m'aiguilla vers un pauvre mineur tout au fond de la mine, je lui demandais ce qu'il voudrais contre son skooma, et sa seul réponse fut un surin...je devais me faire une raison, je devrais me séparer du surin durement volé que j'avais réussis a obtenir hier soir. Je lui donnais la précieuse arme et en échange il me donna deux fiole de ce liquide infâme qui détruisais tant de vie a petit feu...Il me dit que l'autre était cadeau, je la bouchonnais et but un gorgée, ce n'était pas si mauvais...je fini rapidement la fiole et la lançais dans un coin. Ensuite, un surin, j'allais directement a l'autre bout de la mine, je savais qui pouvais m'en « donner » un.

« Hey, tu aurais pas un surin ?

-Désolé, mais je n'ai ai plus qu'un que je garde pour moi...

-Même en échange de skooma ? J'agitais la fiole devant ses yeux qui se remplirent d'une lueur de manque

-Du skooma ?! Marché conclu ! Me dis-t-il en me tendant l'arme dont je m'emparais prestement avant de partir

-Hey, mon skooma !

Je le menaçais de la petite lame, lorsque je lui dit que je trancherais sa gorge si il ajoutais un mot, il repartis, déçu et énervé pour mon plus grand bonheur. Je repartais tranquillement vers le colosse orque, lorsque je lui tendis les deux objets, il m'ouvrit la grille et je pu passer, pas question par contre de refaire le même coup, je lui laissait les deux objets pour ne pas me faire encastré dans l'argent des parois. Je m'enfonçais dans le couloirs creusé a même la roches et je ne vu qu'une petite chambre, un lit, un coffre et un bureau ou trainais encore de l'encre et du papier vierge. Et une petite clé jaunis et rouillée avec le temps. Soudain, je me rappelais d'une autre grille, fermée bien sur...Et si cette clé allais pas hasard...là. J'enfonçais le petit morceau de métal dans la serrure qui se bloqua malheureusement, non ce n'était pas la bonne...j'allais alors voir le coffre, qui lui aussi été fermé mais cette fois, la clé fonctionna et ouvrit un coffre vide...j'eus envie d'insulter ma déesse, Boéthia...Je me souvenais d'un coup de la ruse des gens pour cacher leurs objets : Le double fond. J'ai ouvert précautionneusement le fond du coffre pour trouver une clé rutilante, le temps n'as pas fait ses outrage dessus...je décidais de retenter ma chance, la porte grinça quand je l'ouvrit et m'engouffrais dans le dédale sombre et humide..Ce métal, oui, c'est...

« Du métal Dwemer... Un bruit métallique et pas rassurant viens trembler la quiétude de la caverne et leur célèbres défenseurs... »

Une sphère Dwemer se montait devant moi, j'avais pas d'arme, une toile de jute comme armure et même plus ce fichu surin, j'ai fait ce que tout le monde dans mon cas aurais fait...je l'ai combattu avec mon intelligence. Mal m'en pris, c'est une givrépaire a ma droite m'arrêtais dans mes pensées. La sphère se jeta sur moi et l'araignée aussi, je décidais de profiter de leurs collision pour courir, essayant de tous mon cœur de trouver une sortie jusqu'à se que je sorte, un grand sourire au lèvres

« Liberté !! »

Je me rappelais qui j'étais, un condamné a mort sans arme, je décidais d'attendre la nuit et je m'introduirais dans la mine pour chercher mon arbalète...

Deux gardes devant, un garde qui fait sa ronde toute les trois minutes devant eux...j'ai trois minutes pour entrer, trouvé l'arbalète et sortir. Faciiiiile...! Je courus et enfonça une petite dague de fer dans la nuque d'un soldat en étouffants ses cris avec ma main, le second se fit plus réticent et eu presque le temps de dégainer sa lame , la mienne fut plus rapide et lui obstrua la gorge. Je ne perdais pas de temps a cacher leur cadavre agonisant et entra, le sommeil l'emportait sur leurs vigilance et je passais sans encombre jusqu'à la porte grillagée qui cachais les affaires des prisonniers...par chance, j'avais toujours un crochet dans la botte, botte que ces idiots n'ont pas eu l'idée de m'enlever. J'enfonçais le crochet et une lame dans la serrure, et commença a faire sauter les goupilles...la première fut en place en un rien de temps, la seconde se fit réticente, je crus même que mon crochet allais céder, lorsque que le clic m'avertit que c'était bon j'entamais les trois dernière qui ouvrir finalement la porte, j'ouvris les deux coffres avec le même crochet.

« Dame Fortune me souris... »

Je m'empara de mon arbalète et de ma tenue de tissus chaud et couru dehors, lorsque j'atteignis la porte, j'entendis un cris d'alarme :

Un prisonnier s'est échappé !!

Il ne resta qu'un garde...une flèche, il ne me fallait qu'une simple flèche !! Je fulminait, les gardes revenaient pour fouiller la ville et je n'avais rien pour descendre ce garde...j'appuyais si fort sur la détente que je craignis de l'avoir cassée lorsqu'une petite poignée s'écarta du bois, une petite lame...qui tenait parfaitement dans l'arbalète...Tchac ! Le garde tomba, je courus et récupérais la lame ensanglanté, j'eus même le loisir d'écrire mon nom en lettre de sang sur le mur d'enceinte. Je me rappelais soudainement...

« J'ai un contrat a honorer. »

Je couru vers le palais Coeur-De-Roche, le Sang d'argent doit mourir, le sacrement noir a été effectué ! J'entrais, le désert s'était fait, les garde protégeais le jarl ou fouillaient la ville a la recherche de Suitul l'évadé...J'ai visiter le château de long en large et c'est avant que je ne renonce que par hasard que je le vit, accompagné d'un Thalmor ils discutaient tranquillement...Je pris la lame et la chargea dans l'arbalète, j'entendis le petit déclic, ce bruit me parut se répercuter des millions de fois dans la salle...le Thalmor partit, et dans ses yeux je savais qu'il m'avait entendu...J'attendais qu'il soit loin et appuya sur la détente, la chair tendre de ma cible fut perforé dans un râle qui me parut délicieux...Je couru m'assurer de sa mort, la lame venait de se planter en travers de sa gorge, le sang coulais en une flaque écarlate qui semblaient abreuver la roche du sol...J'arrachais d'un mouvement la lame ruisselante et m'enfuis, les gardes n'était toujours pas revenus a la porte, je partis donc sans encombre, mon chemin vers Aubétoile fut simple, sans problème aucun.

« La nouvelle a fait écho jusqu'ici, un prisonnier évadé de la Mine de Cidhna, un sang d'argent retrouvé mort, et un nom, Suitul Fhrost...Bon travail, assassin.

-Merci Maestro... »

C'est les poches pleines de septims que je partit me remplir mon saoul a la taverne, j'offris même plusieurs tournée pour ceux qui n'avais pas fuis : les bourrés et ceux qui ne me connaissais pas.

« Ouaip ! La routine ! »