Traque dans le froid

Je quittait lentement l'air grave le sanctuaire d'Epervine reconstruit depuis la fameuse attaque du Penitus Occulatus, il y a deux siècles, je me dirigeais vers les forêts , non loin de Rivebois. J'aimais bien resté et médité près du lac. Etudiant les murmures des feuilles, le chant des oiseaux, le bruit de l'eau, tout était si calme ici, voilà pourquoi je suis admirateur de cet endroit, il fait si calme par rapport aux combats et aux massacres qui ont lieu sur ces terres hostiles et sans pitiée. J'avais un objectif tuer l'Ambassadeur Khajiit Mathias D'Elsweyr pour faire éclater l'alliance qu'il y a entre les hommes chats et les impériaux. Mais, dans ma longue marche autour de l'étang j'apperçu deux petits bataillons de Sombrages et d'Impériaux en plein feu de l'action.

*Je les regarde se battre et mourir pour la liberté, ils parlent de liberté et de justice...mais pour qui ?* pensais-je en fronçant les sourcils

Je contournais la bataille laissant les guerriers se combatrent plus ou moins honorablement. Soudainement, je vis un cerf magnifique avec de magnifique bois très imposant, c'est très certainement le chef de la harde. Il fallait utilisé de la discrétion, du doigté, de la rapidité et de la précision. Je me glissais lentement dans des buissons commençant à tendre la corde de mon arc. En soufflant quelques mots à la flèche, une habitude que je faisais très souvent, je murmurais de temps à autre une sorte bénediction pour ma future victime, avant d'abattre l'animal . Mon père m'avait apprit qu'un Assassin qui ne respectait pas sa victime n'était qu'un tueur stupide. Un paysan se vengeant de son rival, comme disait papa très souvent aux autres membres de la Confrérie qui ne respectait pas leurs victimes. Je savais que Mathias se trouvait proche de Vendeaume, il avait eu vent d'une réunion d'état major des Sombrages d'après un de nos informateurs. J'avais trouvé une petite grotte assez sympathique et encore, pour mon plus grand bonneur, inocuppée. Je saisis un petit tas d'herbe séché en le posant au sol, il fera un bon oreillé.


Le lendemain, le temps ne fus pas aussi verdoyant et chaleureux qui hier, un orage violent avait débuté très tôt se matin. Les éclairs déchiraient le ciel sombre de Bordeciel. J'avais rencontré en chemin deux fermiers sur une charrette tiré par de vieux chevaux fatigués et marqué par la vieillesse. Ils m'avaient proposés de monter avec eux j'avais accepté vu qu'il allait à Vendeaume, à la ferme Brandebouc.

Une fois sur les lieux, je vis une femme Dumer se faire harceler par un trio de garde.

-Alors Peau Grise, tu continues à souillé notre ville !

-Mais, je n'ai rien fais !

-C'est celà, c'est celà !

-Mais...Non arrêté...NON !

- lachez là ! dis-je sévèrement

-Tu es qui toi, son mari ? le mari de cette chose ?

-Je ne suis pas son mari mais toi j'ai une petite idée sur ton identée...

-Ah et qui suis-je donc ?

-Tu es...ma future cible...

-Ah Ah, avait ricanné le meneur du trio, je vais te saigner comme un porc !

Je pris mon tomahawk et fit jaillir ma dague la saisissant d'un geste habituelle pour la détacher du mécanisme. Le Nordique se rua avec sa hache sur moi, mais je su le contrer et l'envoyé dans un fossé couvert de neiges profondes. Les deux autres se ruèrent sur moi, mais avec une vitesse filgurante je les contrais et les envoyaient l'un sur l'autre se tuant chacun par leurs propres armes. Le premier était toujours dans le fossé coincé dans la neige.

-Repose en paix, Nordique !

-NoN, Non Pitié, j'ai une femme et des enfants !

-Il fallait y pensé avant !

J'avais levé mon Tomahawk en direction du ciel avant de le laisser retomber dans le crane du garde. En voyant celà une patrouille me prit en chasse. Je me dirigeais vers un ancien fort qui semblait étrangement toujours utillisé. Les gardes n'arrivèrent plus à me suivre dans cette épaisse neige qui recouvrait tout le territoire. J'avais escaladé un arbre scruant les aller à venue de l'étrange forteresse. Les occupants étaient des Impériaux. Mais oui, il sachissait du repaire de Mathias. J'avais sauté d'arbre en arbre histoire d'arrivé à hauteur des remparts pour ensuite me propulser sur ceux-ci. Les archers n'avaient apperçu qu'une ombre dans la neige qui tombait abondament. Je n'avais plus qu'à m'infiltré dans la tour principal avant d'assassiné Mathias d'Elsweyr.

Mathias avait reçu un ordre de l'empereur en personne d'aller espionner la réunion des Sombrages qui devrait se faire à Vendeaume. Le souverain impérial lui avait même confié des agents du Penitus Occulatus. Mais, ses agents n'arrivaient pas à la cheville de Cathay Raht le Khajiit de couleur blanc qui avait accompagné Mathias depuis son enfance. Mathias et ses troupes se trouvaient dans la vieille forteresse d'Amâm Sumum; datant des akavirois cette forteresse à été abandonnée il y a des siècles et est aujourd'huis réutilisée.

Spoiler:

Mathias était dans ses appartements repensant à cette réunion d'état majore que les sombrages avaient organisés. Qu'es-ce que ses Sombrages complotaient encore dans leur sombre ville. Cathay Raht était sortit pour prendre un peu l'air frais de Bordeciel.

Soudain, les bruits des cloches signalant l'alarmes sonnèrent. Que se passait'il ? Un membre du Penitus pénétra dans la pièce suivit par Cathay. L'agent annonça d'un ton stressé:

-Un Assassin à pénétré dans le fort, Seigneur, on doit vous évacuer !

-Attendez, un Assassin de la confrérie noire ?

-Oui, seigneur !

-Mais...Mais, l'ambassadeur n'eu pas le temps de finir sa phrase qu'une flèche provenant de la fenêtre pénétra dans la gorge de l'agent. Cathay Rath saisis par le bras Mathias avant de se diriger vers un passage secret conduisant à l'extérieur. Ils longeaient un long tunel avant de débouché sur une grotte, Cathay annonça d'un air triste:

-Allez vers le nord, un homme appellé Zeris Slayer vous trouvera, je viens de lui envoyé un pigeon voyageur, faites lui confiance il est avec l'empire !

-Mais et toi ?

-Il faut qu'un Khajiit reste pour ne pas alerter l'Assassin tout de suite

-Mais il connait mon visage sa ne sert à rien

-Pas si je porte votre casque il est resté dans vos quartiers, Maintenant Partez ! Soyez prudent !

-Toi aussi !

Mathias sprinta jusqu'une forêt à deux kilomètres du fort. La neige était moins fréquente dans cette zone. Le Khajiit s'était arrêté deux secondes histoire de reprendre son souffle. En se penchant un petit peu il remarqua qu'un précipice l'empêchait de passer. Par chance, un tron gigantesque d'arbre permetait de traverser. Mathias grimpa avec l'agilité d'un félin sur le tron et se tenant en équilibre dessus marcha rapidement jusqu'à l'extrémité du précipice. Mais un homme vêtu de fourure lui bloqua le passage. L'homme avait une trentaine d'année et semblait assez fou, surement un ermite ennuyant les voyageurs. L'homme avança sur le tron criant:

-Minou, Minou, Minou vient je vais t'emmener chez moi !

-Ecarte toi !

-AAAAh le petit minou veux une correction apparement !

Le fou se rua brusquement sur Mathias essayant de le faire chaviré dans le précipice. Mais, L'Ambassadeur dégaina une grosse masse d'acier argentée et frappa violement le crane du fou. L'homme tomba hurlant de toute son âme pour ne pas mourir. Le Khajiit n'avait pas regardé si le fou était mort ou non, il préferait continué sa route sans encombre.

Spoiler:

Le soleil se couchait pendant que sa soeur la lune se levait, Mathias avait installé un petit camp provisoire au moins pour cette nuit. Il avait chassé deux lapin bien dodus qu'il n'avait pas hésité à cuire au feu de camp. Il s'installa confortablement dans sa tente faite de peau de bête et essaya de trouver sommeil, il avait peut être perdu un ami fidèle. Mathias entendait plusieurs cris dans son sommeil: D'abord celui de ses compatriotes des caravanes se faisant tuer par des Sombrages, ensuite celui des soldats mourrant au combat, celui des innocents mourir inutilement et le dernier était un cri qu'il n'avait jamais entendu. Mathias pensa immédiatement à Cathay mais son coeur disait de fermer son esprit et de ne plus pensé à ça. L'Assassin a soit été tué ou soit a échappé à la mort et piste le Khajiit en ce moment même. Soudain, un bruit de pas se fit entendre derrière L'Ambassadeur. Mathias sentit discrètement l'odeur de l'individu. Se n'était pas l'Assassin, il n'avait pas cette odeur là. Mathias se retourna demandant curieusement:

-Zeris Slayer ?

Spoiler:

Fedayiin s'était caché dans un une ancienne structure où l'on avait une vue imprenable sur les quartiers de l'ambassadeur. On ne voyait pas très bien à cause de la neige mais l'Assassin réussis à distingué une ombre de tête par la fenêtre. Il tenda la corde de son arc et tira d'un geste bien entrainé et précis. L'homme tomba au sol. L'Assassin avait été repéré !

Il sauta au bas d'un échafaud, activa le mécanisme de sa lame et empala un garde situé plus bas. Il sentit une lame effleurer son bras et du sang chaud d'échapper de l'entaille. Il saisit immédiatement son agresseur, le projecta sur un autre petit groupe de garde, puis se rua vers la fenêtre où il avait tiré quelques minutes plus tôt. Fedayiin s'agrippa avec l'agilité d'un smilodéon sur une corniche en bois, puis se balança jusque la fenêtre.

Il bloqua la porte d'un couteau de lancer tout en avançant sur le cadavre de l'homme qu'il avait tué. Par Sithis, se n'était pas Mathias ! Mais, un passage dans le mur coulissa lentement, un Khajiit casquer en sortit. S'était le casque de Mathias mais sa corpulence ne semblait pas la même que par la description qu'il avait reçu.

Brusquement, la porte normalement bloqué s'éjecta en direction du mur opposer. Trois impériaux se jetèrent sur l'Assassin. Fedayiin esquiva les multiples estocs des gardes et se mit en position de combat. Il repensa à se que son père lui avait dit:

"N'oublie pas les autres, mais focalise-toi sur un unique adversaire. Fais de lui ta cible. Et assure-toi qu'il le comprenne"

L'Assassin sourit pendant que le garde geignit.

"Ensuite achève-le !"

Bougeant avec la vivacité d'un serpent, Fedayiin attaqua le garde qui fut trop lent à réagir. L'impériaux regarda la lame qui vennait de transpercer sa poitrine, puis tomba à genou x en gémissant. Fedayiin retira sa lame laissant un filet de sang s'éjecter de la poitrine du garde. Les deux autres lachèrent leurs épées et se ruèrent lachement vers la sortie.

Fedayiin se retourna en direction du Khajiit et attaqua aussi rapidement que la dernière fois. Le Khajiit contra toutes les attaques du maitre Assassin et réussit même à contre-attaquer. Fedayiin au sol et son adversaire pointait une épée en direction de sa gorge. Mais, le Maitre désarma d'un mouvement de pied l'homme chat,lui transperça le ventre, puis l'immobilisa au sol.

-Je veux voir ton visage avant de te tuer !
L'homme vêtu de blanc enleva délicatement le casque du Khajiit, et à son grand regret se n'était pas Mathias

-Qui es tu ?

-Mon nom est Cathay Raht

-Quel est cette mascarade ?

-Une petite idée qui m'est venue par hasard, répondit d'un ton moqueur l'homme chat

-Où est ton maitre !

-Loin d'ici !

-Parle où je te tranche la gorge !

-Au sud, mentit le Khajiit qui malgré la réputation d'éloquence des Khajiits mentaient très mal

-Bien, part maintenant

-Quoi ? Tu ne me tue pas ?

-Tu n'es pas ma cible et te tuer ne servirais à rien

L'Assassin se redressa et empreinta le passage secret. Le Khajiit était resté au sol assez étonné de la réaction de Fedayiin.

Une fois au bout du tunel, l'Assassin n'était guère étonné que la grotte menait à un petit chemin en direction du nord, curieux hasard la direction opposé de celle que Cathay lui avait signalé. L'Assassin se dirigea vers une forêt assez agréable et suivit son instint de Maitre Assassin...

- Ouais, c'est bien moi. T'es doué, mon gars. Alors, on a besoin de l'aide du meilleur combattant de l'Empire ?

Le Khajiit n'aimait pas le style de l'homme, ni son ton arrogant d'ailleurs. Mathias se racla la voix et répondit en gardant son calme:

-Bon beh autant commencer par le commencement je suis poursuivit par un Assassin de la Confrérie Noire, il a attaqué le fort où mes hommes et moi étions installés et à, Mathias serra les poingts essayant de ne pas trop montré ses émotions à cette individu arrogant et méprisable, et à peut être tuer mon garde du corps...

Zeris s'installa d'une manière qui parut aux yeux de l'Ambassadeur douloureuse mais que l'Elfe de toute évidence trouvait confortable. Remarquant que l'Elfe semblait agacé le Khajiit le fixa d'un air sévère. Comment le Khajiit avait remarqué cette air agacé ? Tout simplement parcque Zeris avait menacé de tuer ses hommes si ils ne s'asseyaient pas pendant que l'honorable Khajiit parlait. Tout de même Le Monstre répondit:

- Donc, si j'ai bien compris, un assassin de la Confrérie veut te descendre, hein ? Vous êtes des grands garçons, nan ? Vous devriez pouvoir mater ce vaurien facilement tout seuls, vous pensez pas ? Enfin... Maintenant que j'ai pris la peine de me déplacer, va bien falloir que je vous aide, histoire de pas avoir interrompu ma sieste pour rien. Ca vous donnera l'occasion de voir un vrai guerrier en action.

Mathias mit ses mains sur son front, un geste qu'il faisait quand il était agacé et baissa la tête en répondant:

-Hum, ce vaurien comme vous l'appellé est Fedayiin...Le Maitre des Assassins, et éviter à l'avenir de me parler sur se ton je ne supporte pas les petits prétentieux qui sorte à peine des jupons de leurs mères et qui se prennent déjà pour le plus puissant guerrier de Tamriel, donc voilà !

Mathias vennait de lacher ces quelques mots qui l'avait soulagé et en même temps déçu car Mathias n'aimait pas dire ce qu'il pensait surtout à un étranger.

Fedayiin pendant son périple avait remarqué du sang sur un gigantesque tronc d'arbre qui avait été utilisé certainement comme un pont. Il fit une silhouette dans les branches épineuses situées plus bas. L'Assassin inspira lentement et sauta dans une des petites parcelles d'eau qui n'étaient pas envahie par de multiples débris naturelle telle que les branches épineuses. Il avait réussit son saut avec succès. Il farfouilla dans le tas de branches et découvrit un cadavre ! mais pas un cadavre de Khajiit. Le crane de la dépouille de se qui ressemblait à un tas de chair empalé dans des branches avait casiment éclaté. S'était l'oeuvre d'une arme sans aucun doute. Donc cet "homme" avait été tué par très certainement la cible du Maitre.

Fedayiin longea la rive du précipice avant d'emprunter un sentier le guidant vers une colline d'où on pouvait voir la forêt entière. Il vit une lueur dans la nuit parmis les ombres des arbres s'était surement eux !

Le Maitre siffla une mélodie lugubre et un cheval couleur ébène et aux yeux rouge apparut s'était Crin D'Ombre le cheval qui avait accompagné tout les grands maitres Assassins de la Confrérie Noire. L'homme vêtu de blanc enfourcha son cheval et galopa jusqu'à la position de Mathias. D'autres Assassin vêtus eux de noir arrivèrent, il possèdait tous un cheval de couleur aussi noir que la nuit et dégainèrent en même temps et mélodieusement leurs dagues. Nous étions quattre contre peut être unseul mais d'après nos espions, un des cobayes de l'empire avait été envoyé pour le retrouvé. Valait-il mieux être prudent.

Le semi elfe bondit de son sombre cheval et s'agrippa sur une épaise branche d'arbre avant de sauté de branche en branche jusqu'à arrivé au dessus du campement. Par un étrange hasard, ses adversaires étaient quattres aussi: Mathias, Zeris et deux autres gardes qui semblaient un peu débousolés par les ordres de leur supérieur, le dumers nomé Zeris avait l'air extrèment cruel et sans pitié. Mais, Fedayiin avait déjà vu pire comme ennemis. L'Assassin aurait préféré tué le Khajiit avec son arc tout en discrètion mais une force le poussa à descendre de son perchoir et a annoncé:

-Rends-toi directement et tu auras une mort rapide et sans douleur

Les trois autres Assassins jaillirent de l'ombre tous un sourire aux lèvres

L'elfe continua de sourire et finit par lacher:

- Hé... Hé hé... Héhéhéhéhé ! Des jupons de ma mère ? Tu sais qui je suis, au moins ? J'ai été créé de toutes pièces par l'Empire. Je suis le monstre ultime. Je n'ai pas de famille, mon gars. Alors, renseigne-toi avant de tenter de me remballer

Mathias ne s'était pas aussi énervé depuis longtemps d'ailleurs s'était une émotion qu'il tentait d'oublié tout comme la tristesse. D'habitude l'Ambassadeur aurait fumé une pipe de Skouma ou autre, mais cette fois il ne possédait que quelques potions de santé et autres petits remèdes vennant des caravanes Khajiits qu'il avait rencontré avant qu'il ne se soit installé dans Amâm Sumum. Le Dunmer répliqua avec encore plus de franchise:


- Bon, bah on va partir sur l'hypothèse qu'il a buté ton garde du corps. En fait, ça nous arrangerait, on pourrait suivre l'odeur du sang, et en retrouvant le corps, on pourrait voir comment il a été frappé et déduire dans quelle direction est parti le tueur
Le Khajiit y à peine le temps d'ouvrir la bouche que l'Elfe avait répliqué:

- Du moins, ce plan fonctionnerait si on ignorait où se trouve l'Assassin. Mais j'ai la certitude qu'il n'est pas très loin, donc, si ton garde du corps est mort, son cadavre attendra. Enfin bref, tu y tiens beaucoup, à ton pote ?
-Assez mais celà n'est pas vraiment dans le contexte, je me trompe ?
Le Dunmer n'avait fait qu'opiner du chef. Après, L'ambassadeur s'était haté vers sa tente pour se reposer, il rêva soudainement de la première rencontre de Cathay Raht:

RP Flash Back
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Le jeune Mathias déambulait dans le quartier des marchés telle un chaton cherchant sa pelote de laine. L'enfant avait apperçu un étrange Khajiit. Il était entièrement blanc et ressemblait plus à une sorte de juaguar. Il semblait mendié du skouma ou de l'argent. Le futur ambassadeur se rapprocha mais à sa vue, le khajiit blanc se rua vers un échafaud et d'escalader les batiments orientales de la ville de Corinth en Elsweyr. Mathias ne voulait pas ressembler à ses cousins, ses cousins étaient les princes d'Elsweyr, il roulait sur l'or et méprisait le peuple. Mais le futur ambassadeur lui ne trouvait pas celà juste de ne pas fonder son royaume avec le peuple. Mathias réussit à attrapé le vagabond par la queue et de le faire glissé dans un tas de sac d'épices.
-Qui es-tu, demanda Mathias à l'autre enfant un peu plus agé que lui
-Je ne suis personne, je n'ai pas de nom, je sais juste que je suis un Cathay Raht !
-Bon je vais t'appeller Cathay Raht pour que au moins tu saches que je te parle
-Bien, en tout cas tu as beaucoup d'agilité, mais tu ne pas dis ton nom ?
-Mathias...D'Elsweyr
-Tu fais partis de la famille royale ?
-En effet mon père porte le prénom de Jiisac, il est le conseiller du roi et son frère... dis avec un certain regret le khajiit
-Par les lunes jumelles, tu en as de la chance !
-Tu trouves, je préfererais être comme toi voyagé par delà les sables chauds...
Les khajiits étaient devenus très amis même si rapidement. Plus tard, Mathias fit rentré Cathay dans l'armée Elsweyrienne et il devint chevalier en même temps que garde du corps du futur ambassadeur.

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Le Khajiit se réveilla entendant des chevaux approchers. Il essaya de prévenir Zeris mais les Assassins étaient déjà là. Le leader de ceux-ci annonça des paroles destinées à Mathias:
-Rends-toi directement et tu auras une mort rapide et sans douleur
-Jamais Assassin ! Sans moi il y aura une deuxième guerre qui provoquera de centaines de morts !

Fedayiin n'avait aucune chance en se ruant bêtement comme un nordique sur le Monstre aux bras d'ébonites. La haine qui se lisait dans le regard de son adversaire n’intimida en rien l'Assassin. Lui-même avait appris à dominer la sienne; il ne savait trop bien qu’elle n’était qu’un poison qui obscurcit le jugement. Il calcula les moindres failles dans la défense de Zeris, il remarqua une certaine impulsivité dans ses yeux. Fedayiin se racla la gorge et annonça un sourire aux lèvres:

-Tu te crois pour un héro de l'empire, mais tu n'as pas compris, ils se servent de toi, ils t'ont transformé en monstre ! tu as le moyen de te venger de se qu'ils ont fait de toi !

Profitant que l'homme réfléchissait à ses paroles, Fedayiin sauta sur un arbre en ricochant en direction de Mathias. Le Maitre inspira profondement et le temps ralentit ou du moins c'est ce que l'Assassin avait l'impression. 400 mètres séparaient le semi elfe de sa cible.Il n’avait qu’une flèche à décocher. Il ne manquerait pas son but, il en était certain; la combinaison de son majestueux arc ornée par des symboles elfiques et de la précision de son bras ne l’avait jamais trompé. Mais, ayant voulu tiré trop tôt, il le manqua. Fedayiin eu un grand sentiment de honte et de déshonore mais il devait se ressaisir tout n'était pas perdu. Il dégaina sa lame rétractable et bondit en direction du khajiit. Mais, un des gardes que Zeris avait éliminer se leva brusquement malgré le violent coup de poing que leur supérieur lui avait infliger, le garde à moitié assomé se jetta sur le Maitre Assassin, empêchant le maitre d'atteindre sa cible. Slayer s'était relevé boxant les trois autres Assassins.

Voyant le visage de ses frères au sol écrasé par les poingts gigantesque du Monstre, Fedayiin hésita entre sauvé ses frères ou tuer sa cible. Il aurait du choisir de tuer sa cible mais ses émotions prirent le dessus et l'Assassin décida d'aller sauvé ses alliés. Un combat singulier ou presque entre Zeris et Fedayiin allèrent commencé. Machine à tuer au service de l'empire contre Maitre Assassin de la Confrérie Noire...

Mathias était au coin du feu ayant un brin d'herbe séché dans la bouche, il scrutait les Assassins. Fedayiin tenta de tuer le khajiit à l'aide de son arc mais cette tentative échoua miraculeusement. Les lunes jumelles devaient être en faveur de l'Ambassadeur. Mais, l'Assassin ne s'avoua pas vaincu ;pendant que Zeris se défoulait sur les trois autres assassins; Fedayiin se rua vers le khajiit en effectuant un bond pour infliger le coup fatal à Mathias. Mais un des hommes de Zeris se releva et propulsa son corps vers celui du Maitre Assassin le faisant tomber. Mathias dégaina son épée et se leva pour la première fois depuis le début des hostilitées. Mais, l'Assassin changea brusquement de direction allant aidé ses alliés sauvagement battu par Zeris. Un face à face assez épique se fit entre l'Assassin et le Dumner. Une lueur de défi se lisait dans les yeux de chacun.

Le combat allait commencé. Un des trois Assassins qui avaient été brutalement frapper par Zeris boita vers moi, il avait dégainé une épée d'origine surement argonienne, un peu logique vu que sous sa capuche se cachait un visage reptilien. Mon épée tournoyait dans les airs avant de retomber et fracasser le plat de l'épée de l'Assassin Argonien. Celui-ci riposta en renvoyant le même genre d'attaque. Mais, usant de l'agilité légendaire des Khajiits Mathias esquiva et planta violement son épée dans le torax de son adversaire. Le reptile s'écroula au sol mourrant d'une hémoragie.

Lorsque Mathias leva la tête les deux guerriers s'affrontèrent.

- Laisser tes émotions prendre le dessus... Fatale erreur. Tu t'écartes de ton objectif et de ta cible pour venger tes camarades ? Ce n'est pas comme ça que tu parviendras à éliminer ce Khajiit, hé hé hé..

Fedayiin ignora le commentaire du Dumer. Après avoir échangés quelques regards, les deux hommes passèrent à l'action. La lame d'ébonite rafla le visage de l'Assassin avant de glisser sur la lame de l'Assassin, mais après un bref moment de reflexion, Fedayiin remarqua que son confrère argonien s'était fait tuer par sa cible. Si il aurait tuer ce Khajiit, Xi-Traa serait encore en vie. L'argonien était l'un des plus ancien membre de la confrérie. Fedayiin aurait préféré penser qu'il a fait un mal pour un bien...Mais sa logique en avait décidé autrement. Il savait qu'il aurait pu tous les sauvé. La voix désagréable de Zeris sortit Fedayiin de ses pensées:

- Au fait, pour répondre à ta petite remarque il y a cinq minutes... Sache que je ne me prends pas pour un héros. Je sais que je suis un tueur, et que j'ai été créé pour ça. Et tu ne pourras pas me détourner de ma mission.

Le semi-elfe laissa échapper un soupir et répondit calmement
- Je suis désolé d'en arriver là...mais je n'ai pas le choix...

Il activa le mécanisme de sa lame et se mit en position de défense encore une fois. Zeris utilisa son environement pour combattre Fedayiin en prennant appui sur un arbre et autre métode. Il se dirigea à marche rapide son épée à la main sur l'Assassin. Les bruit des 'impactes des deux épées résonnant dans les bois donnait à ce combat un aspect épique et titanesque malgré qu'ils n'étaient que deux. Pendant le combat, les deux assassins ayant survécu étaient toujours un peu assomé et essayèrent de se relever en saississant d'épaisse racines. Les deux combatants après se combat complexe et très fatiguant se replièrent d'un pas, Zeris réussit à dire malgré que tout deux étaient essouflés:

- Hmpf. Ravi de rencontrer un adversaire à ma hauteur. Enfin quelqu'un qui me donne du fil à retordre, hya ha ha haaa !

Un deuxième affrontement ayant débuté, Fedayiin contra de nouveau avec sa lame la tranchée que voulait lui infliger Zeris avant d'esquiver d'un pas de coté son coup de poing et enfonça sa lame essayant de la plongée le plus profondément possible, le plus profondément possible n'était pas suffisant apparement. Un bruit assourdissant se fit entendre avant qu'un nuage de poussière fit virvolter Fedayiin à trois mètres de sa position actuelle. Les deux autres Assassins s'étant un peu redresser étaient bouche bée en voyant leur mentor comme celà. Fedayiin avait été blessé au bras gauche, le bras où était fixé son brassard donc sa lame rétractable. Il se releva avec une fureur dans les yeux, son père lui avait dit de ne pas canalyser sa colère car il y a toujours un mouvement de trop qui conduit à son échec. Il serra ses poings et respira profondément, juste après il dégaina son Tomahawk et passa à l'action. Cette fois, il était l'attaquant !

Il fit tourner le Tomahawk dans sa main, une tactique qu'il faisait pour faire peur à son ennemis et en même temps pour faciliter les mouvement avec celui-ci. Il fit un violent coup en direction de la tête de Zeris, qu'il contra d'un mouvement brusque. Fedayiin apperçu un loup regardant la scène en compagnie de ses semblables. Ils semblaient attendre la fin du combat pour achever le vainqueur. Fedayiin utilisa son pouvoir racial de Manipulation Animal et ordonna aux loups d'attaquer Zeris. Les manipulés obéirent se ruant aveuglément contre un adversaire plus puissant qu'eux.
Fedayiin s'empressa de traquer Mathias. La cible courrait dans les bois évitant du mieux qu'il pouvait les arbres centenaires de cette forêt. Un bruit résonna dans toute la forêt celui des loups criant à la mort tellement leur souffrance était grande. Désormais le poursuivant était devenu le poursuivit !

Mathias ayant réussit à éliminer ce tueur argonien, le fouilla et en récupera une carte dont une croix faite à l'encre était inscrite sur une auberge au nord d'ici. Lisant les quelques notes, le Khajiit apprit que les quatres Assassins patientaient dans cette auberge avant de rejoindre leur Maitre. Mathias savait où se replier au cas où la situation tournerait mal.

Il se sentait un peu minable de ne pas rejoindre le combat mais il savait que si il mourrait, l'Empire perdrait le soutien des Khajiits. Mathias n'eut pas le temps de se retourner que Fedayiin se rua vers lui pour le courser. Chaque mètre qu'il distançait de Fedayiin était rattrappé à cause des arbres qui le retardait. Soudain, on le saisit par le bras et on l'attira de force dans les buissons. C'était Cathay Raht, il avait donc survécu !

-Tu es vivant, chuchota Mathias

-Je n'allais pas mourir alors que vous vous faites poursuivre par un Assassin de la confrérie noir, mon Seigneur !

-Je connais une auberge pas très loin là-bas on sera en sécurité...

-Et je sens l'odeur d'un...Dumner ?

-Oui, je pensais que tu le connaissais ?

-J'ai simplement reçu une missive qui m'annonçait qu'un certain Zeris Slayer, un de leurs agents était dans la région

-Hmm, oui en effet c'est lui, que sont devenu nos soldats ?

-Ils restent à la forteresse, commander par Legius...

-Le capitaine Legius, par les lunes, on doit immédiatement rentré, il n'ai pas assez expérimenté pour commander une armée !

-On doit d'abord assurer votre sécurité

-Je suis las de tout ceci...

Les deux félins rampèrent jusqu'à une petite rivière qu'ils traversèrent à la nage à contre coeur. Mathias apperçu la fameuse auberge juste derrière une petite colline. Son architecture typiquement nordique était assez chaleureuse et ils avaient l'air d'accueillir les clients tout aussi chaleureusement.

-Quand on sera à l'intérieur apporte moi du parchemin, je dois contacter le Général.

-Se sera fait, mon seigneur

Les deux khajiits ne passaient pas inaperçue dans cette taverne, où la plupart des clients étaient nordiques. L'ambassadeur lissa ses moustaches en cherchant une place assez discrète. Le gérant lui conseilla une table dans l'arrière salle. Mathias s'installa confortablement sur la chaisse et saisit le parchemin à lettre que Cathay lui avait rapporté.

"Général,

Je demande la permission de retourner à Solitude avec mes hommes, des Assassins de la confrérie noire ont retardé nos plans.

Mathias d'Elsweyr "

L'Assassin avait probablement semé le Dumner. Mais à quel prix ? il avait perdu sa cible,sa mission était un échec. Il n'avait plus d'autre choix que de rentré au Sanctuaire. Le pire c'est qu'un des Assassins les plus compétent de la confrérie est tombé au combat. Au moins il avait su sauvé les deux autres recrues c'est déjà ça. Mais, ce n'était pas suffisant. Un des deux Assassins ayant survécu s'exclama avec une légère hésitation:

-Nous...rentrons ?

-Oui, mais je préfère rentré seul, vous pouvez passer par Fort-Ivar, ensuite contourner la Gorge du Monde et dirigez-vous vers Helgen, là vous suivez les sentiers jusqu'au sanctuaire, soyez prudent, mes fères

-Vous aussi Mentor, Que la Paix soit avec vous !

Les deux Assassins enfourchèrent le cheval ébène et se dirigèrent vers la destination que Fedayiin avait indiquer.

Fedayiin suivit les sentiers jusqu'à la rivière blanche qu'il longea avant de trouver une barque en bonne état, Le Maitre allait donc profiter d'une "promenade" en barque. Les quelques branches et récifs allaient être assez dérangeant mais rien d'insurmontable pour le semi-elfe.


Lorsque le pont qui permettait aux citoyens de Blanchervive de voyager jusqu'à l'observatoire de la rivière blanche et la pierre du rituel. Il abandonna la barque et continua la route à pied, il arriva jusqu'à Rivebois, où la vieille scierie datant d'au moins deux siècles se tennaient toujours là certe un peu vieillie avec l'age mais toujours en marche. Les trois pierres gardiennes étaient-elles aussi toujours là. Pendant son voyage, Fedayiin n'apperçu pas grand monde à part un ou deux détrousseurs qui avaient rapidement passer au fil de la lame du Maitre Assassin. Il était enfin arrivé au sanctuaire. Là les deux Assassins l'attendait à l'entrée surement pour ne pas se faire sermoné par le sous-chef des lieux d'avoir laissé le Maitre seul dans la nature.

-Maitre, c'est une joie de vous revoir !

-Allez on devrait rentré avant que la nuit tombe

Fedayiin ne tarda pas à raconter sa mission, il préfèrait laissé ça aux deux Assassins, il était fatigué du voyage. Il s'endormit avec un sentiment de dégout d'avoir raté sa mission...